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Gravure | Peinture | Livres et lecture | Livres et lecture -- Dans l'art | Littérature de jeunesse | Livres -- Couvertures | Photographie | Jeux de pions | Jeux de plateau | Jeux de société | Villes | Art de la lumière | Cubisme | Robert Delaunay (1885-1941) | Couleurs -- Dans l'art | Paysage urbain | Fenêtres | Dessin en noir et blanc | Livres d'images pour enfants | Coloriages | ...
Jeu de société avec pommes de pin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50faff19-jeu-de-societe-avec-pommes-de-pin

Jeu de société avec pommes de pin

Le "Jeu de la guerre" de Guy Debord joué avec des petites pommes de pin. En 1965, Guy Debord dépose le brevet d’un Jeu de la Guerre qu’il avait imaginé dix ans plus tôt. En 1977, il s’associe à Gérard Lebovici pour fonder une société dont l’objet est la production et la publication de jeux. Quelques exemplaires en cuivre argenté du Jeu de la Guerre, aussi appelé "Kriegspiel", seront réalisés par un artisan et une Règle du « Jeu de la Guerre » est publiée en français et en anglais. En 1987, paraît le livre "Le Jeu de la Guerre" (éditions Gérard Lebovici puis Gallimard en 2006) présenté sous forme d’un « relevé des positions successives de toutes les forces au cours d’une partie ». Un modèle rudimentaire du jeu avait été diffusé dans le même temps. Ce jeu est basé sur les lois établies par la théorie de la guerre de Clausewitz et a donc pour modèle historique la guerre classique du dix-huitième siècle, prolongé par les guerres de la Révolution et de l’Empire. Depuis 2008, une adaptation informatique du Jeu de la Guerre de Debord est accessible sur Internet.

L'homme et le livre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5480a8c5-l-homme-et-le-livre

L'homme et le livre

L'homme et le livre vide.

L'invitation pour Mme la Duchesse, d'Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfe81e-l-invitation-pour-mme-la-duchesse-d-alice

L'invitation pour Mme la Duchesse, d'Alice

L'invitation pour Mme la Duchesse, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Alice resta une ou deux minutes à regarder à la porte ; elle se demandait ce qu’il fallait faire, quand tout à coup un laquais en livrée sortit du bois en courant. (Elle le prit pour un laquais à cause de sa livrée ; sans cela, à n’en juger que par la figure, elle l’aurait pris pour un poisson.) Il frappa fortement avec son doigt à la porte. Elle fut ouverte par un autre laquais en livrée qui avait la face toute ronde et de gros yeux comme une grenouille. Alice remarqua que les deux laquais avaient les cheveux poudrés et tout frisés. Elle se sentit piquée de curiosité, et, voulant savoir ce que tout cela signifiait, elle se glissa un peu en dehors du bois afin d’écouter. Alice par John Tenniel 20.png Le Laquais-Poisson prit de dessous son bras une lettre énorme, presque aussi grande que lui, et la présenta au Laquais-Grenouille en disant d’un ton solennel : « Pour Madame la Duchesse, une invitation de la Reine à une partie de croquet. » Le Laquais-Grenouille répéta sur le même ton solennel, en changeant un peu l’ordre des mots : « De la part de la Reine une invitation pour Madame la Duchesse à une partie de croquet ; » puis tous deux se firent un profond salut et les boucles de leurs chevelures s’entremêlèrent.

La Bibliothèque Sainte-Geneviève en 1859. Source : http://data.abuledu.org/URI/53befd26-la-bibliotheque-sainte-genevieve-en-1859

La Bibliothèque Sainte-Geneviève en 1859

Intérieur de la Bibliothèque Sainte-Geneviève, Thomas, in Edward Edwards, "Memoirs of libraries: including a handbook of library economy", London : Trübner & Co., 1859, p. 674. (Library of Congress's Prints and Photographs division, ID ppmsca.15552). Henri Labrouste (1801-1875) est appointé depuis 1838 comme architecte de l'ancienne bibliothèque Sainte-Geneviève. En tant qu'expert, il préconise la construction d'un nouvel ensemble, contre toute attente il en reçoit lui-même la commande et présente rapidement un projet, approuvé en juillet 1843 et confirmé par la loi du 19 juillet relative à la bibliothèque Sainte-Geneviève. Ce premier édifice, spécifiquement dédié à l'accueil d'une bibliothèque, innovant par son architecture, est inauguré le 4 février 1851. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Biblioth%C3%A8que_Sainte-Genevi%C3%A8ve

La case de l'Oncle Tom. Source : http://data.abuledu.org/URI/591ab81e-la-case-de-l-oncle-tom

La case de l'Oncle Tom

La case de l'Oncle Tom, ouvrage présenté à l'exposition du "National Underground Railroad Freedom Center".

Le jeu des serpents et des échelles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eb221c-le-jeu-des-serpents-et-des-echelles

Le jeu des serpents et des échelles

Version indienne du XIXème siècle du jeu des serpents et des échelles (Gouache sur tisse). Serpents et échelles ou le jeu de l'échelle est un jeu de société populaire consistant à déplacer les jetons sur un tableau de cases avec un dé en essayant de monter les échelles et en évitant de trébucher sur les serpents. Il est suggéré que l'origine du jeu est moksha-patamu, un ancien jeu hindou remontant au deuxième siècle av. Jésus-Christ, créé par des enseignants hindous spirituels, où les serpents et échelles sont des symboles pour la moralité et spiritualité de la vie. Le jeu est une représentation d'un chemin spirituel que les humains prennent pour atteindre le ciel. Avec des bons gestes, le chemin est raccourci (ce que symbolise les échelles), tandis qu'avec le contraire, le chemin est allongé (d'où vient le symbolisme des serpents). Les différentes cultures ont perçu dans le jeu une valeur éducative et spirituelle, la raison commune pour laquelle ce jeu est surtout présenté aux enfants et adolescents. Les sanscrits avaient un jeu semblable appelé Dapasada. La forme moderne du jeu a été inventée par un Britannique appelé John Jaques qui travaillait pour la société Jaques of London. L'édition la plus connue du jeu est celle de Milton Bradley et Hasbro. La trajectoire suivie par les jetons suit habituellement celle d'un boustrophédon. La forme du jeu peut être mathématiquement représentée par une chaîne de Markov. Elwyn Berlekamp, John Horton Conway et Richard K. Guy ont écrit un livre pour montrer que ce jeu pouvait être traité comme un jeu impartial dans la théorie des jeux combinatoires.

Le livre-coeur italien de 1886. Source : http://data.abuledu.org/URI/53680abf-le-livre-coeur-italien-de-1886

Le livre-coeur italien de 1886

Couverture du "Livre-coeur" d'Edmondo de Amicis. "Cuore" est un roman italien pour enfants écrit par Edmondo De Amicis et paru le 15 octobre 1886, jour de la rentrée scolaire italienne, chez l'éditeur Emilio Treves. Il se présente comme le journal d'un écolier italien au cours de l'année scolaire 1881-1882. L'histoire se déroule au cours des neuf mois de l'année scolaire 1881-1882, c'est-à-dire du 17 octobre 1881 au 10 juillet 1882. Elle est présentée comme le journal d'Enrico Bottini, dix ans, un élève de troisième élémentaire (quatrième année de scolarisation à l'école primaire) à l'école Baretti de Turin. Celui-ci retrouve, en 1885, alors qu'il est au lycée, son cahier d'écolier, et le réécrit en le commentant. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Livre-C%C5%93ur

Les Fenêtres simultanées sur la ville. Source : http://data.abuledu.org/URI/53447637-les-fenetres-simultanees-sur-la-ville

Les Fenêtres simultanées sur la ville

"Les Fenêtres simultanées sur la ville", 1912 par Robert Delaunay (1885-1941). Robert Delaunay passe à l'abstraction avec la série "Les Fenêtres", présentée de 1912 à 1913. Elle inaugure une longue série de recherche sur la possibilité de traduire l'harmonie représentative, par le seul agencement des couleurs. Les couleurs remplacent les objets, qui n'ont plus de substance et laissent la place à la lumière. Ce passage à l'abstraction se fait après la lecture des théories de Vassily Kandinsky dans son livre manifeste "Du spirituel dans l'art", et alors que Guillaume Apollinaire diagnostique en 1912 la naissance d'un nouvel art pictural : "Les peintres nouveaux peignent des tableaux où il n'y a plus de sujet véritable". Mais, contrairement à Vassily Kandinsky qui donne un contenu psychologique et mystique à ses œuvres, Robert Delaunay n'exploite que l'effet purement physique. Il s'explique en s'inspirant d'un texte de Léonard de Vinci : "L’œil est notre sens le plus élevé, celui qui communique le plus étroitement avec notre cerveau, la conscience. L'idée d'un mouvement vital du monde et son mouvement est simultanéité. Notre compréhension est corrélative à notre perception". À cette époque, Delaunay fait également de nombreuses recherches sur les couleurs et plus précisément sur la loi du contraste simultané des couleurs. Avec Sonia Delaunay, il crée le simultanéisme, une technique qui vise à trouver l'harmonie picturale grâce à l'agencement simultané des couleurs, et qui se concentre essentiellement sur le rôle de la lumière, qui est perçue comme principe créateur originel. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Delaunay

Mariage de Sigebert Ier et Brunehaut. Source : http://data.abuledu.org/URI/522a594d-mariage-de-sigebert-ier-et-brunehaut

Mariage de Sigebert Ier et Brunehaut

Mariage de Sigebert et de Brunehaut. Manuscrit du XVème siècle, grandes chroniques. Bibliothèque Nationale de France, Paris. Au printemps 566, ayant abjuré l'arianisme, Brunehaut épouse à Metz Sigebert Ier, roi de Metz. Le mariage de Brunehaut est évoqué dans le livre de Grégoire de Tours et dans un poème de Fortunat. La princesse est alors présentée sous un jour favorable. De ce mariage, naissent : 1) Ingonde, qui épousera le prince wisigoth Herménégild, fils aîné du roi arien Léovigild ; 2) Clodosinde, qui aurait épousé le roi des Wisigoths d'Espagne Récarède Ier (frère cadet d'Herménégild) ; elle serait la mère du roi wisigoth Swinthila ; 3) Childebert en 570.

Poète persan en 1615. Source : http://data.abuledu.org/URI/53f47390-poete-persan-en-1615

Poète persan en 1615

Le poète Saʿdī présente un livre de poèmes, 1615, par Abu'l Hasan.

Système solaire de Képler. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b0aab5-systeme-solaire-de-kepler

Système solaire de Képler

Source : "Mysterium Cosmographicum" (1596). Le modèle d’Univers de Képler, fondé sur les cinq polyèdres réguliers. La théorie des solides emboîtés, qui amènera plus tard Kepler à découvrir deux nouveaux solides réguliers (voir Les polyèdres de Kepler-Poinsot), si elle nous paraît fantaisiste aujourd’hui, a permis à Kepler d’entrer en contact avec ses contemporains Galilée et Tycho Brahe, mathématicien impérial à la cour de Prague. Ce livre a surtout été apprécié en son temps car il constituait le premier plaidoyer convaincant pour la théorie copernicienne, ne se contentant pas, ainsi que Rheticus l'avait fait, de présenter les avantages du système héliocentrique du point de vue mathématique. Kepler, en effet, cherche (et croit avoir trouvé) les causes (physiques et métaphysiques) du nombre, de la disposition et des mouvements des planètes. Cette recherche des causes (physiques), que Kepler poursuivra tout au long de sa vie, constitue l'acte fondateur de l'invention d'une nouvelle science : l'astrophysique.